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Un témoignagne bouleversant : racisme anti-blancs

anvignes-les-Mines : Piscine squattée, Français insultés par des racailles racistes – par Joël MASSÉ
 
- Immigration -
J’habite à Sanvignes-les-Mines, petite commune de Bourgogne, située dans le département de Saône-et-Loire, près de Montceau-les-Mines. Cette petite ville, qui comptait 6.695 habitants en 1992, n’en compte plus aujourd’hui que 4.400, à l’image d’une région qui se dépeuple chaque année un peu plus. Les guides touristiques nous la présentent comme une des villes les plus paisibles de France, et il est vrai qu’elle en a toutes les caractéristiques.
 

Je sais que ce que je vais vous décrire va vous paraître incroyable, et pourtant, c’est hélas vrai.

Depuis le début de l’été, un groupe de jeunes maghrébins a décidé, à la nuit tombante, de s’approprier la piscine. Cela dure depuis la deuxième quinzaine de juin. Ils ont commencé à cinq ou six, et à présent, ils sont une trentaine. Dès qu’arrive l’heure de sa fermeture au public, ils l’investissent, sans par ailleurs qu’il n’y ait de détérioration à déplorer. Il faut savoir que la commune ne dispose que d’un seul policier municipal, qui n’est pas armé. Le commissariat le plus proche est situé à Montceau-les-Mines. Quand ils patrouillent, à deux ou trois, ils demandent aux jeunes de partir, ce que ceux-ci font sans créer d’incidents… pour mieux revenir dès que les policiers se sont éloignés… Il y en a eu moins, en juillet, sans doute parce que nombre d’entre eux ont quitté la ville pour un mois, puis cela a recommencé en août.

Ce lundi 22 août, autre incident grave : notre unique policier municipal, devant de nombreux témoins, dont j’étais, a été couvert d’insultes, à la fermeture de la piscine,  par deux autres maghrébins, particulièrement énervés : « Dégage batard, Police municipale de merde ». Nous avons eu droit ensuite à : « Nous on nique la France, et on encule les Français ».
 
Ensuite, comme si cela ne suffisait pas, l’un des deux est monté sur le plongeoir de la piscine, et a continué à insulter les habitants encore présents sur les pelouses. Certains, plus courageux que d’autres, ont tenté de s’interposer. Devant la violence et les menaces des deux agresseurs, qui disaient habiter Lyon, ils ont préféré s’éclipser à leur tour, plutôt que de risquer un mauvais coup, et surtout subir des représailles.

Les deux auteurs de ce haut fait circulaient dans une luxueuse voiture. En partant, ils ont menacé le policier municipal de lui briser les deux jambes. Ce dernier a été défendu par trois autres maghrébins de Montceau-les-Mines qui se sont courageusement interposés, et ont demandé aux voyous de partir.

J’ai assisté à cette scène impuissant. Aucun des témoins présents, tétanisés par la violence des deux agresseurs, n’a eu le courage d’intervenir davantage. Nous avons tous senti la haine qui émanait de ces personnes, qui véhiculaient un véritable message de guerre civile contre notre paisible population. Je me dis que si cela est comme cela dans notre paisible petite ville, qu’est-ce que cela doit être dans les périphéries urbaines ?

J’ai vu également des gens en pleurs, en quittant la piscine. J’ai vu des femmes serrer bien fort leurs enfants, en s’éloignant de la piscine. Vous ne lirez ce fait divers nulle part dans la presse locale. Le commissariat de Montceau minimise totalement la gravité d’une telle affaire. La politique de la municipalité socialiste, c’est plutôt « Pas de vague ». Nous sommes donc dans une petite ville où une trentaine de jeunes maghrébins peut, plusieurs soirs de suite, s’approprier la piscine municipale, où deux racailles peuvent insulter et menacer le policier municipal, cracher sur la France et les Français, sans que cela n’émeuve ceux qui nous dirigent, nos élus, notre député, la presse locale.

Une dernière note d’espoir. Des maghrébins présents, plus âgés, ont manifesté leur indignation auprès du policier municipal : “Ce ne sont pas de bons musulmans, c’est de la racaille, nous avons honte”.

Moi-même, je ne me sens pas capable de signer ce témoignage, que, sur la tête de mes enfants, je certifie exact, de mon vrai nom, j’ai trop peur pour moi, ma femme et mes enfants.
Source : Riposte Laïque
Rubriques : Crimes et délits, Immigration, Racailles, Témoignage

Parta

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