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Retraités français : des lendemains qui chantent...

Les retraités français spoliés par des escroqueries maghrébines, avec la complicité du PS

Il y aurait en France 800 000 retraités maghrébins, dits chibanis pour l’oumma, qui réclament une retraite personnelle et la nationalité française, revendication soutenue par le gouvernement Ayrault et qui vient de faire l’objet d’un rapport présenté par Alexis Bachelay, député PS, après de nombreuses années de lobbying et de désinformation des états, en particulier de l’Algérie, qui ne pensent qu’à plumer la France et les Français au nom du paiement de la dette coloniale. http://www.leparisien.fr/espace-premium/paris-75/comment-ameliorer-le-sort-des-retraites-maghrebins-03-07-2013-2948565.php

Depuis de nombreuses années, les lobbies maghrébins de France, d’Algérie et du Maroc militent avec le PS et ses alliés pour que le complément de la retraite personnelle, souvent inexistante pour des gens qui ont peu ou pas cotisé, soit versé par la CAF indépendamment du lieu de résidence. Dans la presse et dans la bouche des retraités maghrébins , il se dit hypocritement (takkiyactiquement) et faussement qu’ils sont abusivement contrôlés et que les organismes payeurs leur réclament indûment les trop perçus, ce qui les priverait d’une retraite bien méritée pour services rendus à la France. Yamina Benguigui, notre ministre de la francophonie, s’est faite propagandiste de cette thèse dans des documentaires qui diffusent l’idéologie anti colonialiste chère au PS, à l’Algérie et à tous ceux qui ambitionnent de niquer la France http://www.rfi.fr/emission/20120326-chibanis-retraites-maghrebins

La retraite revendiquée par ces Maghrébins est, en réalité, la somme de leur retraite personnelle et de l’ASPA (allocation de solidarité des personnes âgées), ce complément que la société française verse aux petits retraités afin qu’ils puissent vivre à peu près décemment en accord avec le coût de la vie en France. D’un point de vue administratif, il est donc logique que ce complément ne soit pas versé en Algérie, en Tunisie ou au Maroc, là où le coût de la vie est moindre. De même, il serait logique que l’administration des pays du Maghreb accorde une aide sociale aux personnes à faible revenu, comme nous le faisons en France. Mais ça, les Maghrébins n’en parlent pas car ça les mettrait en danger dans leur pays d’origine alors que la France, bonne fille, peut et doit payer et si elle ne paye pas, elle les trahit selon les termes utilisés par les intéressés. Sous la menace de dangers terroristes, la France plie humblement ,coupable d’avoir pillé l’Algérie, même si elle n’existait pas avant son arrivée en 1830.

C’est donc en toute logique que la CAF et la CNAV, dans le cadre de la lutte contre la fraude aux prestations sociales, envoient des inspecteurs vérifier les droits des étrangers à toucher leur retraite personnelle et le complément retraite, l’ASPA. Récemment, la cour des comptes dénonçait un nombre surprenant de centenaires domiciliés en Algérie qui continuaient à toucher la retraite de la CNAV. Ces contrôles sont très mal perçus par les intéressés et leurs amis au nom de la revendication du paiement de la dette coloniale et de la dette de la construction de la France. C’est clair, pour eux, nous existons grâce à l’exploitation des Maghrébins, nous leur devons notre croissance et notre richesse, tel est le discours qu’ils propagent et qui trouve un écho au PS et chez les bobos de gôche. Curieusement, on n’entend pas de telles revendications en provenance des Polonais, Espagnols, Italiens, Portugais, Chinois et Vietnamiens qui eux aussi ont travaillé toute leur vie en France et pour la France devenue la leur par le bénéfice de leur désir d’insertion et leur volonté de prendre l’ascenseur social.

En réalité, la retraite personnelle est inamovible, quel que soit le lieu de résidence. Une confusion est savamment entretenue entre les droits à la retraite personnelle qui reflètent les années de cotisation d’un travailleur (cotisations sociales payées en partie par l’employeur et en partie par le salarié) et l’aide sociale due aux ressortissants ou résidents français, pour des motifs politiques qui reposent sur les ambitions françaises de maintenir son pouvoir en Méditerranée. Les Maghrébins qui ont travaillé régulièrement dans les entreprises françaises ont autant de droits que les Français qui ont fait de même et leur retraite est calculée sur le nombre de trimestres effectués. Malheureusement pour eux, beaucoup de Maghrébins ont travaillé au noir, n’ont pas cotisé et, en conséquence n’ont pas accumulé suffisamment de points de retraite pour toucher une pension décente. Tout le monde sait cela puisqu’on en n’ a jamais autant parlé qu’en ce moment. Que vont penser les Français auxquels on demande de plus en plus de trimestres de cotisations, et dont les retraites diminuent en montant, si on débloque des budgets pour payer les retraites de personnes qui n’ont pas cotisé et les pensions de réversion des veuves de ces travailleurs ?

On ne peut également ignorer que les travailleurs payés au noir pouvaient marchander une augmentation de leur salaire au prétexte que le patron ne payait pas de charges sociales. Ces travailleurs empochaient ainsi un surplus qui profitait à leur famille restée au bled et négligée par des gouvernements totalitaires et corrompus. Selon le principe que ce que l’on donne à Pierre, on le prend à Paul, ces cotisations et charges sociales non payées aux caisses de retraites obéraient tout le système qui est fondé sur la répartition. Les actifs payent pour les retraités. Quand les actifs travaillent au noir, c’est autant d’argent qui échappe au budget des retraites servies par le régime général.

Pour être juste, je me dois de dire que, dans certaines circonstances, une personne en recherche d’emploi, sans revenu aucun, ne peut pas toujours résister aux sirènes d’un employeur qui lui propose un salaire non déclaré et on sait que, par exemple, la filière du bâtiment en a usé et abusé. Mais on peut difficilement croire qu’en 20 ans et plus de présence sur le territoire, un immigré n’a jamais eu l’opportunité de travailler légalement et de gagner des trimestres de cotisation à la retraite. Idem pour l’assurance maladie. Les défenseurs des retraités maghrébins mettent en avant leur mauvais état de santé. S’ils ont cotisé à la sécurité sociale, ils ont pu bénéficier de soins comme tout autre cotisant et profiter comme lui du service public de la santé français , bien mieux qu’ils ne l’auraient pu dans leur pays d’origine qui ne possède pas l’équivalent au point que même leurs dirigeants, comme Bouteflika récemment, viennent se faire soigner en France. Alors que de plus en plus de Français renoncent aux soins médicaux du fait de leur appauvrissement et que les hôpitaux publics adoptent une politique de plus en plus commerciale, nous devrions prendre davantage en charge -nous le faisons déjà avec la CMU et l’AME- des gens qui ont peu ou jamais cotisé à l’assurance maladie ? Ce serait terriblement injuste.

Le rapport Bachelay déplore par ailleurs l’illettrisme des retraités qui, selon leurs organisations, serait la conséquence de leur exploitation. Ils racontent que si ces travailleurs sont arrivés en France analphabètes, c’est à cause de la colonisation; s’ils n’ont pu se former, c’est la faute aux patrons français; s’ils n’ont pu apprendre le français, c’est à cause du racisme de la société française qui les a parqués dans des foyers où ils étaient contraints de rester entre eux et n’avaient aucune chance de s’assimiler. Dans les années 70, alors que, grâce au regroupement familial et aux mariages blancs ou gris avec des françaises, des familles maghrébines étaient parquées dans des HLM salubres et modernes, des familles françaises vivaient dans des taudis insalubres et, dans les campagnes, des gens vivaient encore sans eau courante , sans électricité ni tout-à-l’égout.

En réalité, s’ils l’avaient voulu, ces maghrébins n’auraient-ils eu aucune chance de s’insérer dans la société française en commençant par apprendre le français ? La France est-elle responsable de leur analphabétisme à leur arrivée sur le territoire ? Pourquoi n’ont-ils pas profité des nombreux centres d’alphabétisation associatifs et municipaux ouverts gratuitement à tous les étrangers ? Pendant leurs périodes d’inactivité dues au chômage, à l’absence d’offre de travail au noir, à la maladie, qu’ont-ils fait de leur temps libre ? Comment se fait-il que d’autres immigrés européens ou asiatiques, tout aussi exploités que les maghrébins aient trouvé le moyen d’apprendre le français, de connaitre les lois françaises et les usages en vigueur dans la société française ? Seraient-ils plus intelligents que les maghrébins ?

Pour des raisons culturelles, et surtout religieuses -l’islam prône la domination et interdit l’insertion-, hier comme aujourd’hui, les Maghrébins, dans leur majorité, n’ont jamais souhaité s’insérer en France. Ils ont vécu comme ils vivent aujourd’hui, les pieds sur notre sol mais la tête au bled. La preuve en est leur contribution financière à la famille restée au pays, un argument qu’on entend toujours concernant le montant de la retraite.: Je ne touche pas assez pour envoyer de l’argent à ma famille. Dans un recueil d’articles consacrés aux entrepreneurs maghrébins publié aux éditions Karthala en 2010, on trouve des chiffres parlants. http://www.karthala.com/hommes-et-societes-sciences-economiques-et-politiques/2380-entrepreneurs-maghrebins-terrains-en-developpement.html Sur un échantillon de 111 émigrés, 85% des retraités envoient en Algérie 80% de leur pension qui est reversée dans l’économie locale. On comprend donc l’importance du montant des retraites indispensable à l’économie du pays d’origine. Cet apport considérable fait l’objet de tractations en vue de l’élargissement des accords bilatéraux entre la France et l’Algérie, en sus de ceux qui existent déjà dans le cadre de l’accord franco-algérien du 27 décembre 1968 relatif à la circulation, à l’emploi et au séjour des ressortissants algériens et de leurs familles (JO du 22 mars 69).. http://www.cleiss.fr/docs/textes/conv_algerie.html Le rapport présenté ces jours-ci par Alexis Bachelay relève de cet élargissement qui est au cœur des préoccupations de tous les sites et médias maghrébins et algériens.

Non contents de bénéficier d’avantages dérogatoires au droit commun des étrangers, les Algériens en veulent toujours plus et utilisent tous les moyens de pression pour faire plier la France. Ainsi, on peut libre dans la Liberté Algérie , Jeudi, 13 Décembre 2012 09:50 Accord bilatéral de 1968 entre l’Algérie et la France. L’autre geste de la gauche Par : K. Yacine

C’est assurément une victoire dans la négociation que se livrent la France et l’Algérie depuis plus de trois ans. Mais une victoire rendue possible par le retour de la gauche au pouvoir. Sans l’élection de François Hollande qui se prépare à se rendre à Alger, ce changement de cap n’aurait pas été effectué par la droite trop occupée à braconner sur les terres du Front national où elle chasse l’immigré. C’est le cadeau emporté dans sa hotte par le chef de l’État français et il vient d’être annoncé par le ministère de l’Intérieur : la France a renoncé à amender l’accord bilatéral de 1968 organisant l’entrée et le séjour des Algériens en France, après deux ans de négociations infructueuses.

…Sur certains points, les Algériens sont favorisés par rapport aux autres étrangers (notamment en matière de regroupement familial) sur d’autres, ils sont perdants (notamment pour les étudiants). En 2010, le gouvernement de Nicolas Sarkozy avait entamé des négociations avec les autorités algériennes dans l’idée de maîtriser l’immigration en provenance d’Algérie, premier pays d’origine des immigrés français. Près de 600 000 Algériens vivent en France avec un titre de séjour et des centaines de milliers d’autres possèdent la double nationalité.

Le blocage a été tel, selon une source française citée par l’AFP, que l’Algérie a brandi un argument de masse : cesser la coopération antiterroriste avec la France. Difficile de savoir si la gauche a reculé à cause de cette menace.

Alors que l’Etat augmente le niveau des prélèvements obligatoires sur les retraites des Français qui ont cotisé, il serait utile de connaître le coût de l’ASPA versée aux émigrés maghrébins résidant -officiellement- en France et à combien il se monterait si elle était versée à tous les retraités maghrébins et leurs veuves sans autre condition que d’avoir un peu ( 3 mois ? 6 mois ? dix ans ?) travaillé en France.

On demande à tous les français de se serrer la ceinture malgré la diminution de leur pouvoir d’achat mais nous devrions, sous la menace terroriste, faire des cadeaux aux émigrés maghrébins pour alimenter la politique de leurs gouvernements incapables de leur assurer un niveau de vie décent malgré plus de 60 ans d’indépendance ?….

Rose Martin

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