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Immigrationnisme : le mensonge à trois temps...

          
Immigrationnisme : le mensonge à trois temps

 

Tribune libre de Paysan Savoyard

Pour mener à bien leur entreprise d’invasion massive, les immigrationnistes ont adopté,

afin d’abuser l’opinion, une tactique du mensonge constituée de trois étapes :

négation, relativisation, déresponsabilisation. Ils ont en quelque sorte utilisé dans le

registre de la mauvaise foi une forme de gamme descendante :

 

« c’est pas vrai, c’est pas grave, c’est pas nous« .

 

Cette opération d’enfumage par replis tactiques successifs a été appliquée aux deux volets du dossier :

l’ampleur des flux migratoires d’une part, les difficultés engendrées par l’immigration de l’autre.

 
  • La négation : « C’est pas vrai »

La négation a constitué le premier temps de l’entreprise de mensonge immigrationniste. Les immigrationnistes ont ainsi nié pendant des décennies l’importance des flux migratoires, affirmant que les arrivées d’immigrés n’étaient pas considérables.

 

Ils ont mis par exemple en avant le fait que la proportion des étrangers dans la population n’est pas supérieure à ce qu’elle était au début du siècle précédant. Cet argument est doublement falsificateur. D’une part les immigrationnistes font semblant de croire que l’immigration européenne de la première moitié du 20e siècle est de même nature que l’immigration maghrébine et africaine. Surtout le raisonnement fondé sur la proportion d’étrangers est évidemment sans valeur pour rendre compte de l’ampleur de l’immigration puisqu’un grand nombre d’immigrés sont de nationalité française.

 

Autre mensonge de la même eau. Pour faire croire que les flux restent limités, les immigrationnistes mettent en avant le « solde migratoire » qui n’est que de 54 000 par an (Source INSEE). Or le solde de l’INSEE, en dépit de

son nom, ne mesure pas l’immigration puisqu’il concerne aussi les Français. Ainsi un Français partant travailler quelques années à Londres réduit le solde migratoire, tandis qu’il l’augmente à son retour. En réalité le flux annuel d’immigrés supplémentaires, naissances comprises, est de l’ordre de 400.000.

 

Même stratégie du mensonge concernant l’intégration des immigrés. Les immigrationnistes ont nié pendant des

décennies que l’immigration créait de graves difficultés. Ils ont nié notamment qu’elle était la source

majeure de la délinquance, en faisant valoir là encore que les délinquants étrangers ne représentaient

qu’une minorité (or les délinquants, quoique le plus souvent originaires de l’immigration, possèdent f

réquemment la nationalité française).

 

De même on a longtemps entendu les immigrationnistes affirmer que les difficultés concernaient les immigrés

des premières générations mais que l’intégration s’opèrerait d’elle-même avec le temps.

La réalité est exactement inverse. La première génération d’immigrés venue dans les années soixante pour travailler (sans leur famille) n’a pas créé de grosses difficultés.

Ce sont précisément les générations suivantes qui posent des problèmes croissants, alors même qu’il s’agit l

e plus souvent de personnes de nationalité française et nées en France.

Du coup, les immigrationnistes ont depuis longtemps abandonné l’argument.

 

  • La relativisation : « C’est pas grave »

Élément majeur pendant des décennies de l’entreprise de mensonge organisé, la négation pure et simple

continue à être utilisée. Cependant les immigrationnistes ont dû mettre en œuvre, de façon complémentaire

ou alternative, une seconde étape : celle de la relativisation.

 

L’opinion en effet a fini par ne plus être tout à fait dupe des mensonges immigrationnistes :

il est devenu progressivement évident pour tout le monde que les flux migratoires étaient considérables ; qu’ils ne se tarissaient nullement ; et que l’intégration était un échec flagrant. La propagande immigrationniste

se heurte au constat quotidien que chacun est amené à faire en observant la composition de la population d’une rame de métro prise au hasard.

 

Pour relativiser l’ampleur des flux, les immigrationnistes affirment désormais que « l’immigration a toujours existé, la France ayant de tout temps été un pays d’immigration ». Il s’agit là encore d’un mensonge. De même les immigrationnistes

affirment que « l’immigration est comparable à ce qu’elle est dans les autres pays européens ». Ce qui n’est pas faux, certes, pour le coup : c’est d’ailleurs précisément pourquoi les autres européens connaissent les mêmes considérables difficultés !

Les immigrationnistes cherchent également à relativiser l’impact du phénomène en faisant valoir que l’entrée de « quelques dizaine de milliers d’immigrés par an » représente peu de chose pour la population d’un pays de 63 millions d’habitants. Cet argument manipulatoire est parfaitement malhonnête puisqu’il omet de préciser que ces entrées supplémentaires viennent s’ajouter à un stock de population immigrée déjà considérable (nous évaluons pour notre part le nombre des immigrés non européens à un niveau compris entre 13 et 15 millions de personnes).

 

Concernant l’intégration, la négation des difficultés devenait également difficile, le nombre des Français ayant eu maille à partir avec les immigrés étant devenu considérable (Qui désormais n’a pas été au moins une fois toisé, menacé, humilié, frappé ou volé ou n’a pas été du moins le témoin d’une scène de ce genre ?). Les immigrationnistes ont dû là aussi mettre en

œuvre une argumentation visant à relativiser les difficultés.

 

Ils ont d’abord affirmé que « l’intégration se fait dans la plupart des cas de façon globalement satisfaisante,

 les immigrés posant problème ne représentant qu’une infime minorité ». Cet argument est une fois de plus

 grossièrement mensonger. Les chiffres officiels de la délinquance suffisent à prouver que les

« difficultés d’intégration » des immigrés ne concernent pas qu’une petite minorité.

 

Il y a 3,5 millions de crimes et délits par an, pour lesquels 1 million de coupables, le plus souvent originaires de

l’immigration, sont identifiés (encore faut-il rappeler que ces chiffres officiels ne représentent qu’une partie

de la réalité, les statistiques de « victimation » montrant que la délinquance réelle est trois fois supérieure).

La lecture des faits divers confirme que les délinquants des cités loin d’être quelques poignées sont au

contraire très nombreux. Les émeutes d’importance variable qui se produisent tous les jours dans telle

ou telle des 800 ZUS que compte le territoire mettent ainsi chaque fois la police aux prises

« avec des dizaines de jeunes » (des centaines à Trappes au mois de juillet 2013).

 

Les immigrationnistes avancent un dernier argument relativiste.

« Certes il y a des difficultés: mais les choses finiront pas s’arranger avec le temps, si nous consentons

des efforts suffisants pour lutter contre le racisme, les discriminations et les handicaps sociaux ».

Là encore l’argumentaire ne correspond en rien à la réalité.

D’abord parce que les efforts consentis par la société française au bénéfice des immigrés

sont d’ores et déjà considérables. Ensuite parce que la poursuite de l’immigration rend illusoire

 l’enclenchement de tout processus d’intégration.

 

  • La déresponsabilisation : « C’est pas nous »

Les immigrationnistes n’ont pas encore fait mouvement vers la position de repli de leur tactique

argumentative : la déresponsabilisation.

 

Elle constituera la ligne de défense ultime, lorsqu’il sera devenu évident que les affirmations négatrices

et relativistes sont mensongères. Lorsqu’il sera devenu patent que les flux migratoires sont énormes ;

qu’ils sont sans précédent historique ; que la France et l’Europe sont envahies par des populations venues essentiellement d'Afrique et 

que les vrais citoyens sont marginalisés dans leur propre pays.

 

Lorsque que tous les Européens éprouveront chaque jour que l’immigration invasive signifie pour eux

appauvrissement continu, implosion des services publics et de la protection sociale, hausse ininterrompue

des impôts, dégradation de l’environnement, hausse continue du prix du logement.

 

Lorsque les Français auront bien conscience qu’en devenant progressivement minoritaires, face à une population

immigrée jeune, en pleine santé, arrogante et agressive, ils devront à tout moment baisser les yeux, descendre du trottoir

et limiter leurs déplacements dans le temps et dans l’espace. C’est à ce moment que les immigrationnistes

se replieront sur la ligne de défense finale : « C’est pas nous ».

 

Les immigrationnistes nieront alors qu’ils ont pu avoir une responsabilité dans la catastrophe.

Ils rejetteront même la faute sur la population française. Ils diront que l’immigration est une conséquence d

u comportement des Français qui ont laissé aux immigrés « les sales boulots » et de l’aide insuffisante

des pays riches obligeant les immigrés à quitter les pays

« où l’on crève de faim ». Ils ajouteront que « si les choses se passent mal, c’est parce que les immigrés,

 

Les immigrationnistes achèveront de se défausser en prétendant que de toute façon tout cela était

inévitable : « Quelles qu’aient pu être les politiques mises en œuvre, il était de toute façon impossible de

s’opposer aux flux migratoires, consécutifs à la démographie mondiale et aux écarts de richesses ».

 

Or tous ces arguments ne sont que poudre aux yeux : loin d’être inévitable, l’immigration est le résultat

d’une politique délibérée, constante, continue, conduite par l’oligarchie depuis cinquante ans,

pour servir ses intérêts économiques ou ses visées idéologiques.

 

Cette politique a donné lieu à de nombreuses décisions parfaitement identifiées, assumées et

confirmées par les gouvernements successifs: autorisation du regroupement familial, lois créant des

nouvelles modalités d’accession à la nationalité française, création de l’AME pour les clandestins,

 interdiction de la « double peine », régularisations de clandestins, etc.

 

C’est sans doute la première fois dans l’Histoire qu’en provoquant, accompagnant et organisant une

immigration invasive, les dirigeants d’un pays trahissent aussi délibérément leur peuple et

organisent sa disparition.

**

Les immigrationnistes ont abandonné pour l’essentiel la négation et en sont à l’étape de la relativisation.

Ils avancent aussi de temps à autres des arguments du troisième type, en affirmant par exemple que

« c’est l’extrême droite qui, en mettant de l’huile sur le feu, est responsable des tensions ».

 

Il faut apporter cette précision. Quand ils en seront à tenir le discours du « C’est pas nous »,

les immigrationnistes le feront probablement depuis un pays étranger.

Lorsqu’en effet la France aura été définitivement envahie, tiers-mondisée et ensauvagée,

les chefs immigrationnistes auront depuis longtemps plié bagage.

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